Retraite d’écriture féministe en Gaspésie

For a third year, the Feminist Writing Retreat at Salon58 will feature a multitude of critical perspectives, as well as dynamic writing and discussion sessions around current feminist issues!

This year, the event is transformed: accompanied by 5 facilitators from previous editions who work professionally in the fields of literature, dance, visual arts and communications, 15 participants from across Quebec have been selected to attend the retreat!

The retreat will close with the now very popular Feminist Cabaret on Saturday, April 15 from 7:00 to 10:00 pm at Salon58.

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This event is held in French, with francophone participants and public, in Marsoui Gaspésie. Therefore the reste of the information below is only available in French. Thank you for your understanding.

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Communiqué pour diffusion immédiate

Marsoui (Gaspésie) 15 mars 2023 — Pour une 3e année, la Retraite d’écriture féministe à Salon58 mettra en avant une multitude de perspectives critiques, ainsi que des temps d’écriture et d’échanges dynamiques autour d’enjeux féministes actuels!

Cette année, la Retraite d’écriture féministe se transforme : accompagnées par 5 facilitatrices issues des précédentes éditions oeuvrant professionnellement dans les milieux de la littérature, de la danse, des arts visuels et des communications, 15 participantes en provenance de Montréal, Québec, Rimouski, Matane, les Îles-de-la-Madeleine et de la Gaspésie ont été sélectionnées parmi un grand nombre de candidatures reçues pour participer à la retraite. Le comité de sélection a misé sur la mixité du groupe en termes de parcours professionnels, d’âge et de familiarité avec les discours féministes, afin de créer un contexte hétérogène propice aux rencontres enrichissantes.

La semaine sera composée d’ateliers multidisciplinaires guidés par les cinq facilitatrices, ainsi que de moments de travail en solo ou en groupe, de promenades et de cercles de discussion entre toutes les participantes. Ces dernières seront accueillies à Salon58 où une librairie éphémère composée des choix littéraires de chacune permettra de naviguer entre lecture, écriture et découverte tous les après-midis.

La retraite se clôturera avec le désormais très prisé Cabaret féministe, le samedi 15 avril de 19h00 à 22h00 à Salon58 [COMPLET]. Places limitées, réservez sans tarder!

Finalement, grâce à un soutien financier issu de l’Entente de partenariat territorial du CALQ, du CLD et de la MRC de La Haute-Gaspésie, un ouvrage regroupant des textes issus de la retraite sera édité par les cinq facilitatrices et tiré à une centaine d’exemplaires en vue d’une distribution dans plusieurs librairies indépendantes gaspésiennes, dont L’Encre noire et Liber. L’ouvrage sera produit en collaboration avec l’organisme gaspésien Poème en août et lancé à Maria en août 2023, en présence de certaines autrices participantes.

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Contact média : Clotilde Dyotte-Gabelier
comm@mandolinehybride.com

Alexandra Dion-Fortin / Îles-de-la-Madeleine

Inspirée par l’observation de la vie naturelle, sociale, architecturale, poétique et vivante, Alexandra Dion-Fortin explore à la main les couleurs et les gris du monde qui l’entoure. Illustratrice, bédéiste, designer architecturale, autrice et parfois poétesse, elle revêt de multiples chapeaux afin de s’ancrer dans des projets tout aussi nombreux. Elle étudie l’architecture de 2012 et 2020 au Cégep du Vieux Montréal ainsi qu’à l’Université de Montréal (Tio’tia:ke), et suit des ateliers de bande dessinée en parallèle avec ses études. Elle décide de se consacrer à ses projets artistiques à la fin de sa maîtrise et vit maintenant sur l’île balayée par les vagues (Menagoesenog). L’aquarelle, le plomb et les crayons de couleur sont ses outils de prédilection. Elle a souvent le visage et la main gauche recouverts de couleur lorsqu’elle dessine le vivant. Photo : Gabrielle D. Fortin.


Camille Tremblay-Fournier / Gaspé

Camille a essayé d’essayer bien des affaires, de l’enseignement, à la recherche, en passant par l’animation et l’intervention sociale, de la Baie-James jusqu’aux Îles-de-la-Madeleine. Maintenant, bien assise dans le sable de Sandy Beach, la tête dans les montagnes de Forillon et le fun avec les loups-marins de la baie de Gaspé, elle réfléchit au travail gratuit féminisé, la reproduction sociale et les transformations des pratiques culturelles sous le capitalisme tardif. Photo : courtoisie Camille Tremblay-Fournier.


Catherine Mailloux / Rivière-à-Claude

Bercée d’une enfance catholique rythmée par le chant choral et les Écritures saintes, Catherine navigue le passage à l’âge adulte en nouant une relation sacrée avec l’acte d’écrire. Les mots sont ses plus grands alliés dans les tourments relationnels et identitaires. Passionnée par la vie sous toutes ses formes, joaillière d’émotions brutes, ses matériaux préférés sont les relations qui nous unissent, humains, vivants, matière, et les insaisissables forces à l’œuvre dans la création du mouvement. L’émotion est avant tout un impératif à bouger. Il s’agit de comprendre où le mouvement nous mène. Nord-côtière de naissance, franco-ontarienne, maintes fois déracinée et gaspésienne d’adoption, elle est venue s’établir en Haute-Gaspésie en 2017, attirée par les possibilités tangibles de se lier au territoire et de réinventer les alliances entre les mondes. Elle se lance dans un projet d’autoconstruction en 2018 puis choisit l’aventure de la soloparentalité quelques années plus tard. L’écriture, partie prenante de sa vie et de sa survie depuis nombre d’années, se retrouve reléguée aux infimes moments de solitude qui peuplent son quotidien. La fragilité de ces instants exige la création d’un nouveau rapport à cette alliée indéfectible. Photo : Antoine Mageau-Taylor.


Charlotte Vaidye-Bourgault / Douglastown

Charlotte Vaidye-Bourgault écrit chansons et poèmes autour de la baie de Gaspé depuis bientôt quatre ans. Après avoir terminé ses études en Arts, lettres et communication, elle se lance dans l’étude d’elle-même et du monde à travers la poésie qui la porte. Elle vous invite à faire de même. Photo : Victoria Bouffard.


Clémence Renaud Allaire / Québec

Clémence Renaud Allaire est une artiste s’exprimant principalement par le dessin. Née à Montréal, elle a vécu dans différentes régions du Québec et a développé un intérêt marqué pour les notions d’habiter et d’appartenance aux lieux. Elle s’intéresse également aux pratiques documentaires, à l’histoire orale et à ses moyens de diffusion. Elle travaille présentement sur un projet alliant dessin documentaire et essai poétique, réalisé à partir d’entretiens sur le thème du chez-soi. En dehors de sa pratique artistique, elle poursuit des études en art-thérapie et œuvre dans le milieu communautaire auprès des enfants. Photo : Benoit Gagnon.


Danielle Drolet / Cap-Chat

Artiste conceptrice-multidisciplinaire, elle parcourt sa vie dans plusieurs champs d’intérêt et de causes qui lui sont chères et déterminantes. À l’adolescence, on l’étiquette de féministe sans qu’elle n’en soit consciente ni militante. Dès lors s’enclenche sa réflexion sur sa première source de sororité, les Ursulines de Kébek (un héritage d’éducation transgénérationnelle dans sa famille établie ici depuis le 17e siècle). Suite à sa lecture de L’Archéologie du savoir de Michel Foucault en 2003, lui vient l’idée de « féminArchéo » démarche de recherche et artistique sur « la part du Fait Féminin dans la structuration identitaire du Kébek » et dévoile sur 3 origines, 1ere nation, Ursulines et Filles du Roy. Photo : Denis Gravel.


Jaleesa «Tea Leaf» Coligny / Montréal

Jaleesa «Tea Leaf» Coligny a suivi une formation rigoureuse en streetdance – soit 14 ans en hip-hop et 3 ans en krump – sous le mentorat de plusieurs pionnier.e.s de la scène de danse montréalaise et new-yorkaise, dont Angelo Ameur, Cindy “Goldylocks” McAuliffe, Valérie “Taminator” Chartier et plus récemment Alexandra “Spicey” Landé pour laquelle elle est interprète dans la compagnie Ebnfloh depuis 4 ans. Jaleesa est profondément inspirée par tous les aspects de la culture hip-hop depuis son plus jeune âge, et plus particulièrement par sa musique et ses sous-genres. Elle cherche continuellement à enrichir son langage et sa compréhension de cette culture et son évolution, à renforcer les liens avec les membres de sa communauté, raffiner sa pédagogie et s’assurer que les fondations de cette culture restent au cœur de son développement artistique. Photo : Do Phan Hoi.


Karen Golden / Cap-d’Espoir

Karen Golden est une artiste céramiste qui entretient une relation intuitive et sensible avec la matière. Elle s’initie à la céramique en 2006 et perfectionne sa technicité de manière autodidacte. Sa pratique actuelle est protéiforme et comprend des œuvres réalisées avec la céramique, le dessin et l’estampe. Elle s’intéresse aux espaces en marge qui activent des voies de passage entre l’imaginaire et le réel. Elle vit et travaille à Cap-d’Espoir, en Gaspésie, et partage sa carrière entre une pratique d’atelier indisciplinée et des activités d’agriculture vivrière. Préoccupée par la dégradation des conditions d’habitabilité de la terre, elle fait usage de diverses pratiques militantes, permaculturelles, artistiques et poétiques pour réensauvager ses liens avec le territoire et habiter l’incertitude d’un monde en mutation. Photo : courtoisie Karen Golden.


Laurence Lallier-Roussin / La Martre

Laurence Lallier-Roussin est anthropologue et artiste multidisciplinaire. Elle a jadis évolué dans le milieu de la microédition montréalaise, au sein de la Coopérative d’édition En jachère. En écriture, elle s’intéresse notamment aux formes autofictionnelles et aux relations entre les corps et les territoires. Elle déploie son œuvre performative et clownesque via son alter ego, Toni Timine. Laurence vit en Haute-Gaspésie depuis 2021. Photo : MC Joannis.


Leila Sofiane / Caplan

Leïla Sofiane est slameur·euse et artiste de scène. À travers son œuvre, iel propose une réflexion sur la marginalité, les identités, la colonisation, et comment ces diverses réalités se ressentent à travers un écosystème. Iel est une habituée des scènes ouvertes de sa région et se produit également sur des scènes de poésie, de conte et de théâtre francophone partout au Québec. On peut retrouver ses textes dans les recueils de Transpoésie, et les magazines Aranéide et Font. À ses heures, iel cultive des légumes, sa famille choisie, et un esprit révolté et éveillé, en Gespe’gewa’gi, un territoire non cédé Mi’gmaq communément appelé la Gaspésie. Photo : Estelle Marcoux


Marie-Pier Bédard / Mont-St-Pierre

Originaire de Richelieu en Montérégie, Marie-Pier Bédard s’installe à Mont-Saint-Pierre en 2016. Travailleuse sociale depuis autant d’années, elle est aussi diplômée en art et technologie des médias. Elle a travaillé dans le milieu de la télévision avant d’avoir besoin de trouver du sens ailleurs. Elle accompagne maintenant des jeunes et leur famille en ayant à cœur de promouvoir les droits des enfants dans une approche du «care». Elle débute aussi en 2018 des études en art-thérapie afin de faire des ponts entre sa vie professionnelle et son propre processus créateur. Par cette plongée dans l’écriture, elle souhaite explorer un autre mode de communication et lier l’intime au collectif. Elle est convaincue que notre imaginaire est un levier de changement social des plus puissants et souhaite puiser dans sa richesse pour nourrir sa pratique en travail social et plus largement, sa vie. Photo : Moïse Marcoux-Chabot.


Maude Ménard-Chicoine / Montréal

Maude Ménard-Chicoine est une artiste au cœur forêt et aux racines trempées dans la terre glaise. Elle a publié un texte qu’elle a vécu comme un coming out dans le recueil collectif «Libérer la culotte» chez Remue-ménage, un poème fâché et rempli d’espoir chez NYX et un co-poème écoanxieux chez Lapsus. Après une performance de poésie à l’événement DIY Carmagnole, elle a eu envie d’explorer le monde du clown et du conte pour ancrer sa poésie dans son corps. Elle confectionne des zines pour les anniversaires de ses ami.e.s et comme tout le monde, elle rêve de sauver la planète. Photo : Maryse Boyce.


Nadia Gagné / Rimouski

Nadia Gagné est née avec l’ardente inquiétude de comprendre ce que signifie être. Artiste multidisciplinaire ancrée à Rimouski, elle œuvre surtout dans les arts visuels et vivants. Le récit, la parole et l’écriture sont au cœur de sa démarche peu importe le médium qu’elle emprunte pour créer. Ses projets artistiques les plus récents portent sur les sentiments d’appartenance et d’altérité, l’expérience d’être au monde et les assignations et déterminismes sociaux qui en font partie. L’expérience des corps racisés dans les territoires régionaux éloignés des grands centres l’intéresse plus spécifiquement. Photo : Laurie Cardinal.


Nathalie Bernier / Matane

Comédienne de formation, Nathalie Bernier œuvre depuis près de 20 ans dans le milieu culturel matanais. Artiste polyvalente, elle scénarise, réalise et joue tant sur scène que pour la caméra.  Différentes bourses lui ont permis de se perfectionner et de diffuser ses courts-métrages au Canada et en Europe. On a pu la voir sur scène dans plusieurs productions du Théâtre des Grands Vents et dans toutes les éditions de «La Soirée des doublures» en tant que performeuse-improvisatrice. Les personnages qu’elle crée sont en constante adaptation avec le rythme et l’environnement qui les entourent. Elle sait transformer des banalités du quotidien en situation loufoque ou extraordinaire. Nathalie vit à Matane et travaille également pour un organisme bas-laurentien en défense collective des droits des femmes. Photo : courtoisie Nathalie Bernier.


Thuy Aurélie Nguyen / Bonaventure

Moitié française, moitié vietnamienne et québécoise d’adoption, Thuy Aurélie Nguyen vit depuis plus de six ans à Bonaventure, dans la Baie-des-Chaleurs. Écrivaine, docteure en lettres et mère de deux jeunes enfants, elle a publié dans plusieurs revues de création, dans le collectif Des grands chefs et des écrivains, et se passionne pour tout ce qui touche à l’exil, la filiation et la transmission. Au gré des mots et des marées, elle anime des soirées de poésie rituelle qui relie les communautés et offre des ateliers de kasàlà, une poésie de louange originaire d’Afrique subsaharienne, qui invite à la gratitude et à l’émerveillement. En 2021 et 2022, elle a reçu une bourse du Conseil des arts et des lettres du Québec pour son projet « Nos lignées de femmes » et une bourse du Conseil des arts du Canada pour son projet d’écriture « Nous, les exilées ». Photo : Johanna Moya (La Nomade Photographie).

Catherine Beau-Ferron / Pluridisciplinaire / Haute-Gaspésie

Montréalaise d’origine, Catherine Beau-Ferron a établi ses bases en Haute-Gaspésie depuis presque quinze ans, après avoir fait des études en Arts visuels et histoire de l’art, puis en Gestion culturelle. Elle partage aujourd’hui son temps entre la vie paysanne et communautaire, le dessin, l’art mural et l’écriture. Elle a publié plusieurs essais dans des ouvrages collectifs (Écosociété, Remue-Ménage) et des revues politiques, notamment sur la décroissance, le féminisme, la vie paysanne et les luttes anticapitalistes. Elle fait partie des instigatrices de la Retraite d’écriture féministe à Salon58.


Élise Ross-Nadié / Communications / Montréal

Élise Ross-Nadié est passionnée par les liens et les intersections entre les cultures numériques, l’intimité, le pouvoir et la sexualité. Elle a aussi un intérêt marqué pour les logiciels libres, l’intelligence artificielle et la décolonisation des connaissances. Elle a eu le privilège de promener ses histoires dans plus d’une quinzaine de pays et de ses aventures sont nés toutes sortes d’artéfacts : des articles Wikipédia, un guide d’identification des roses sauvages, des quiches, des bibliographies annotées, des formations en ligne, de grandes amitiés, des rires, un ouvrage collectif entre le Canada et Cuba et de nombreuses sessions de danse. Élise est une communicatrice acrobate et participe à la Retraite d’écriture féministe pour la 2e fois. Photo : Selena Phillips Boyle.


Emma Desgens / Poésie et illustration / Haute-Gaspésie

Emma Desgens est poète, illustratrice et œuvre dans le milieu communautaire comme intervenante sociale. S’inspirant de l’intime, du corps comme géographie singulière, elle cherche à transcrire le dialogue entre ce qui nous habite et ce qui nous entoure. Ses créations, tant littéraires que visuelles, sont en écho au quotidien et à l’ordinaire, conjuguant les fractures qui forgent les êtres et la douceur qu’il faut pour les réparer. Elle est également instigatrice de la Retraite d’écriture féministe à Salon58. 


Karla Etienne / Danse / Montréal

Karla Etienne est une artiste et travailleuse culturelle qui a longtemps travaillé avec Zab Maboungou/ Compagnie Danse Nyata Nyata. Elle a collaboré en tant que danseuse à des projets de George Stamos, Katya Montaignac, Sophie Corriveau et Priscilla Guy. Elle est diplômée en environnement et en gestion culturelle et continue de contribuer en tant qu’interprète, mentor, conseillère et philanthrope auprès d’artistes et d’organismes artistiques. Karla Etienne est également directrice générale de l’Association canadienne de la danse et artiste-commissaire invitée de Mandoline Hybride. En 2021, elle a reçu le prix Stellaire de Nyata Nyata pour sa contribution à la grande communauté de la danse. Elle travaille actuellement à l’écriture d’un texte sur Bill Robinson pour un ouvrage de référence international, et a récemment posé son regard critique sur l’exposition Love Is the Message, the Message Is Death de l’artiste américain Arthur Jafa, dans un entretien publié sur le site du Musée d’art contemporain de Montréal. Photo : Mathieu Gaudreault.


Priscilla Guy / Multidisciplinaire / Haute-Gaspésie

Priscilla Guy est performeuse, chorégraphe, cinéaste, commissaire et chercheuse en arts basée à Marsoui, en Gaspésie. Elle fonde Mandoline Hybride en 2007, bannière sous laquelle elle diffuse ses créations scéniques, performances in situ et courts-métrages chorégraphiques aux échelles locale et internationale. Également à l’origine de plusieurs projets de diffusion chapeautés par Mandoline Hybride (Regards Hybrides, Salon58, FURIES – festival de danse contemporaine), elle est impliquée dans des projets collectifs internationaux (8DAYS, Expanded Hybrids). Détentrice d’un doctorat en études féministes et cinédanse, elle publie des articles scientifiques dans des ouvrages internationaux (International Journal of Screendance, Oxford Handbook of Screendance Studies), de même que des essais poétiques, des lettres ouvertes ou textes critiques dans des revues culturelles diverses (Revue JEU, Dance Current, Magazine Gaspésie). Elle fait partie des instigatrices de la Retraite d’écriture féministe à Salon58.

Ne manquez pas la 3e édition du Cabaret féministe à Salon58, qui terminera en beauté la Retraite d’écriture. Les participantes et les facilitatrices se livreront à des performances, des lectures et à des échanges avec le public, dans une ambiance festive et décontractée. Bienvenue à toutes et tous!

Rendez-vous le samedi 15 avril de 19h00 à 22h00 à Marsoui. Places limitées, réservez sans tarder.

Retraite d'écriture féministe © Marie-Josée Lemieux

Retraite d’écriture féministe 2e édition – Cabaret 9 avril 2022 – Photo Marie-Josée Lemieux

2e édition – avril 2022
Voir les photos du Cabaret >

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1ere édition – avril 2021
avec Catherine Beau-Ferron, Emma Desgens et Priscilla Guy
Photos : René Faulkner