Retraite d’écriture féministe en Gaspésie

Pour une 4e année, la Retraite d’écriture féministe à Salon58 mettra en avant une multitude de perspectives critiques, ainsi que des temps d’écriture et d’échanges dynamiques autour d’enjeux féministes actuels! 

Cette année, ce sont 16 auteurices en provenance d’Eastman, Montréal, St-Jean-Port-Joli, Québec, Rimouski, Sainte-Anne-des-Monts, Sainte-Maxime-du-Mont-Louis, Maria, Caplan, Douglastown et Kingston (Ontario) qui profiteront de l’accompagnement de 4 facilitatrices oeuvrant professionnellement dans les milieux de la littérature, de la danse, des arts visuels et des communications. Issues des précédentes éditions et ayant à coeur de façonner un espace qui réponde le plus possible aux besoins des personnes qui le composent, Karla Etienne et Élise Ross-Nadié (Montréal), ainsi que Emma Desgens et Priscilla Guy (Mont-Saint-Pierre, Marsoui) guideront le groupe dans un esprit de partage et d’apprentissage mutuel. La semaine sera composée d’ateliers multidisciplinaires offerts par les quatre facilitatrices, lors desquels le geste d’écriture sera envisagé de plusieurs angles. De plus, des moments de travail individuel, de promenades et de cercles de discussion entre toutes les personnes participantes seront au menu. Le groupe sera accueilli à Salon58 tous les jours où une librairie éphémère, des espaces de coworking et de détente seront aménagés, afin de naviguer entre lecture, écriture, repos et découverte.

En marge de la Retraite, l’artiste Claude Périard sera sur place pour réaliser, en collaboration avec les facilitatrices et le Comité de développement de Marsoui, un Balado ayant pour thème les conversations féministes intergénérationnelles. Ce Balado sera diffusé à l’automne 2024 en exclusivité sur La Fabrique culturelle, partenaire du projet.

Sarah McNeil / Sainte-Anne-des-Monts

Arrivée dans la région de la Haute-Gaspésie il y a trois ans, Sarah McNeil est une professionnelle de la santé qui s’investit dans sa communauté. Elle s’intéresse particulièrement aux enjeux de santé mentale, de diversité capacitaire ainsi qu’à ceux qui touchent les populations 2ELGBTQI+.

Elle cherche à promouvoir une approche inclusive et éclairée dans son travail et son écriture, une passion qui s’est imposée à elle au courant des dernières années. Elle a récemment achevé un premier manuscrit qui explore les liens entre le pragmatisme des soins de santé et la fragilité de la condition humaine. Dans cette autofiction, la narration adopte à la fois le point de vue de la soignante et de la soignée.

Ce projet représente une fusion de ses intérêts professionnels et personnels, et elle nourrit l’espoir de le voir publié pour contribuer à la réflexion sur ces thèmes essentiels. Pour elle, écrire sur la vulnérabilité est un outil de guérison et de transformation sociale. 


Sandrine Gaulin / Montréal

Titulaire d’une maitrise en architecture de l’Université Laval, Sandrine Gaulin a d’abord appris à concevoir des espaces physiques. Ayant oeuvré plusieurs années en tant que conceptrice et chargée de projet à l’Atelier Pierre Thibault, ses intérêts pour la transdisciplinarité, le design et l’architecture l’ont amenée à cofonder en parallèle le trio artistique legaga, puis à accepter un poste de conceptrice-rédactrice au Centre Canadien d’Architecture.

Travaillant présentement sur son premier roman dans le cadre d’une bourse de mentorat en arts littéraires offerte par la Ville de Québec, et ayant signé les illustration de l’album jeunesse Les Jumelles (2024, Minimo Éditions), Sandrine migre tranquillement vers une carrière où les mots qui font image et les images qui valent mille mots sont ses matériaux de construction premiers.

Elle habite Montréal et Québec.


Raÿla Corbeil / Montréal

Raÿla fuit en Gaspésie avant même d’avoir l’âge de fréquenter les bars, puis tombe en amour avec les plages en hiver, la poésie et les grandes colocations. Inspirée par la plume des femmes qui l’entourent et par l’horizon qui apaise, elle prend goût au processus d’écriture et de partage artistique.

C’est à travers les nuits à dormir dehors, les ami·es qui deviennent famille, les mots déposés et les larmes versées ensemble que Raÿla se (re)construit et apprivoise en douceur la vie d’adulte.

De retour à Montréal après ses études en plein air, elle travaille dans le domaine du ski de fond et de l’escalade, tout en poursuivant tranquillement ses études en sexologie.

Elle publie parfois dans des revues littéraires, telles que Le Culte et Le Pied, et saisit toutes les occasions de fuir à nouveau la ville.


Michelle Gauthier / Eastman

Je m’appelle Michelle Gauthier. Je vis à Eastman dans les Cantons de l’Est, une région choisie pour un bienêtre de vie. Je suis née à Montréal dans le quartier Rosemont. J’ai adoré y vivre. Ma famille habitait les deux étages d’un duplex, car nous étions neuf enfants. 

J’ai enseigné parce que j’ai toujours pensé que c’était le plus beau métier du monde. Je me suis toujours passionnée pour la lecture et l’écriture. En vadrouillant à Montréal pendant une dizaine d’années, j’ai jeté sur papier des divers sujets: aux restaurants, dans les parcs, les cafés, dans les bus, dans ma chambre. Je ne me suis jamais limitée à un endroit et à un horaire déterminé.

J’aime les mots, j’aime apprendre et découvrir. J’espère que mon expérience de création tracera un chemin à mes proches. J’aimerais qu’ils.elles sachent que chacun possède en lui.elle quelque chose à exprimer, à raconter, à transmettre.


Line Richard / Caplan

Line Richard vit dans la Baie des Chaleurs. Elle a complété un bacc en littérature, à l’Université Laval, en 1999. Depuis, elle a participé à de nombreuses soirées littéraires en tant que conteuse, slameuse et poète, et offre également des ateliers d’écriture à l’occasion.

En 2018, elle a publié un recueil de nouvelles, intitulé Soudain, le paysage aux Éditions 3 Sista, et son plus récent livre, La rumeur du ressac, paru chez VLB éditeurs, a obtenu le prix Robert Cliche du premier roman 2023. Line propose des textes d’atmosphère, ancrés dans la matière et le monde sensible. Ses écrits se penchent sur la perte, la transformation de soi et la rencontre de l’autre. Jamais en panne d’idées, elle travaille présentement à la rédaction d’un deuxième roman.


Kharoll-Ann Souffrant / Kingston

Née à Montréal de parents haïtiens, Kharoll-Ann Souffrant est travailleuse sociale, chercheuse, chargée de cours universitaire, conférencière et écrivaine. Elle termine la rédaction d’une thèse portant sur la déclinaison québécoise du mouvement #MeToo du regard de militantes afrodescendantes ayant été impliquées dans les luttes féministes contre les violences sexuelles. Elle tient une chronique tous les deux lundis pour Noovo Info ainsi qu’une chronique féministe pour la revue sociale et politique À Bâbord!.

En 2022, elle a publié son premier livre, Le Privilège de dénoncer – Justice pour toutes les victimes de violences sexuelles, (Sélection du Jury du Grand Prix du Livre de Montréal 2023, Finaliste Auteure de l’Année – Gala Dynastie 2024). Elle a été finaliste dans la catégorie « Voix de la relève – Télé-Québec » aux Prix d’excellence de la SODEP en 2022. Elle travaille présentement à la rédaction de son prochain ouvrage sous contrat avec Les éditions du remue-ménage.


Katy Collet / Gaspé

Habitante de la Gaspésie, Katy Collet (Trace d’encre) est une artiste autodidacte multidisciplinaire dont la démarche est indissociable de son engagement collectif et social. Dans le cadre de projets sociocommunautaires et artistique, sa pratique en arts imprimés l’amène à faire dialoguer les arts visuels et littéraires, et rendre ces disciplines accessibles. Elle est cofondatrice de La Griffe, une publication indépendante de la pointe gaspésienne initiée en 2022 qui vise à encourager le partage d’idées, de réflexions, de luttes et de rêves, portés par des valeurs émancipatrices.

Parallèlement, elle a entamé un projet de co-écriture sur la vie en communauté intentionnelle en région éloignée où elle réfléchit sur les incohérences et qui nous traversent et les difficultés à surmonter par le choix d’un tel mode de vie dans une perspective féministe, décoloniale et communautaire. La résidence sera une occasion pour elle d’approfondir par l’écriture les liens de résonnance entre art, communauté et territoire.


Jowi / Rimouski

Jowi écrit. Parce qu’iel a besoin d’espace pour imaginer un avenir meilleur. Iel écrit parce que c’est le seul moyen qu’iel a trouvé pour arrêter d’être tout le temps fâché.e.  Jowi écrit, lit, efface, crie, réécrit pour résister à la dystopie, mais aussi à l’utopie.

Romantique chevronné.e, iel croit que l’art à le pouvoir de changer le monde. Jowi aime les extraterrestres, la poésie érotique, se baigner habillé.e et danser nu pied dans les mush pit.

Iel déteste les histoires dans morales, être toujours fâché.e, les dates Tinder et les romans policiers.


Joëlle Gauvin-Racine / L’Islet

Joëlle Gauvin-Racine vit dans la région de L’Islet, sur le Wolastokuk, territoire non cédé wolastoqey.

Elle est poète et anthropologue. Ses poèmes ont paru dans les revues Exit et Caminando, sur la Fabrique culturelle et sur le babillard poétique de la Maison de la littérature, à Québec.

Sa démarche d’écriture est ancrée dans une posture d’écoute du monde qui l’entoure et une fréquentation intime du territoire. Impliquée dans la vie culturelle et littéraire de sa région d’adoption, elle contribue aussi régulièrement à Caminando, une revue d’engagement et de réflexion sur les droits humains en Amérique latine. Joëlle aime écrire près d’une fenêtre, lire près de son amoureux et vivre près des arbres.


Gaëlle Dupuis / Montréal 

Au fil de son parcours académique, Gaëlle s’est intéressée au croisement entre la philosophie, la politique, la psychanalyse, la littérature et la sémiotique. Dans sa pratique de création, Gaëlle use de la prose et de la forme essayistique pour traduire ses préoccupations philosophiques ou politiques de manière artistique. Elle aime jouer sur les ambiguïtés de la langue et appréhende l’écriture comme un acte de résistance.  Ses derniers mois d’errance l’ont menée à arpenter les caps des Îles-de-la-Madeleine et les villages de la péninsule gaspésienne, avant de se reterritorialiser dans le quartier Hochelaga-Maisonneuve. Elle partage son temps entre l’observation des oiseaux, les études, préparer de la nourriture pour ses colocs, l’écriture et la lecture. Depuis quelques années, Gaëlle affectionne différents espaces d’échanges et de co-construction de savoir comme des cercles de discussion, des micro-ouverts et des ateliers d’écriture Ces lieux de parole nourrissent sa pratique artistique.


Gabrielle Huot-Foch / Montréal

Littéraire de longue date, ayant œuvré dans divers contextes et emplois, Gabrielle a fait de la réinvention de soi un véritable art de vivre.

Outre le fait d’être habitée par un doute (quasi) constant, elle a complété une maîtrise en recherche-création portant sur les rapports entre care, espaces et récits de soi.

Elle a aussi publié deux zines en collaboration avec l’Atelier universel et des textes dans les revues Les Écrits et Mœbius. À l’heure actuelle, elle tente de mettre en mots ce qu’est la métamorphose.


Claire Moeder /  Maria

Claire Moeder est autrice. Elle relie textes et photographies où le territoire devient aussi personnage. Native de France et établie en Gaspésie depuis 2017, elle initie des projets littéraires sous forme de lectures, de marches expérimentales, d’ateliers d’écriture et de micro-éditions.

Au Québec, elle a participé à plusieurs résidences reliant l’écriture aux arts visuels. Impliquée auprès de nombreux artistes en tant que critique d’art et commissaire, elle a publié dans des revues spécialisées avant de plonger récemment en poésie. Son premier recueil paraitra en 2024 aux éditions du Noroît. 

Créatrice et marcheuse en mouvement, elle collecte des récits humains et non-humains dans des paysages singuliers : côtes, forêts primitives ou îles, où la menace de disparition est présente. Elle s’ouvre également à de nouvelles pistes d’écriture féministes liées à la place du vivant, la maternité et la souveraineté des corps.


Catherine-Alexandre Briand / Montréal

Catherine-Alexandre Briand aime les plantes, la poésie et tout ce qui résiste. En crise existentielle dans un monde lui-même en crise, elle souhaite d’abord nourrir ses relations et apprendre à écouter.

Titulaire d’une maîtrise en création littéraire, elle a publié plusieurs textes dans des revues et dans la rue.

Elle a également fait partie du collectif La Filée et a codirigé le recueil Interconnecté.e.s.  Son écriture s’inspire des pratiques rituelles, de l’autofiction ainsi que des liens qui unissent le corps et l’environnement.

 


Jess Roy / Montréal

Jess Roy est une habituée des errances, des sauts du coq à l’âne et des blagues pas de punch. Elle est une des humaines derrière les projets de Coup d’Griffe, l’Attaque, Hochelaga Mon Amour, Zine de zines et un paquet d’autres.

Fondatrice de Nœuds éditions – maison de micro-édition alternative, féministe, punk et subversive – Jess s’active à mettre au monde des histoires et des voix qu’elle a cherché trop longtemps.

Elle mélange les genres à sa manière avec, toujours, en trame de fond, l’art et la littérature comme outils rassembleurs et transformateurs.    


Joé·e Dufresne / Montréal
Bimbo camouflée dans un corps d’adolescent et parent d’un bambin élevé dans une proto-commune, Joé·e Dufresne est aussi cofondateurice de l’Euguélionne, librairie féministe, et y travaille depuis son ouverture en 2016. De 2012 à 2023, elle a œuvré au sein du collectif de micro-édition et de fabrication d’art imprimé Possibles éditions.

Ses filons d’écritures serpentent du côté de l’autothéorie, des maternités subversives et de l’archéologie des histoires queer cachées des icônes féminines de la culture populaire.
Joé·e vit à Montréal/Tiohtià:ke/Mooniyang, avec sa famille queer formée de quatre adultes, un enfant et un berger allemand.

Camille Montagne / Saint-Maxime-du-Mont-Louis

Camille Montagne est poète, conteuse et comédienne. Diplômée en interprétation de l’École supérieure de théâtre de l’UQAM en 2017, elle habite aujourd’hui la vallée de Mont-Louis.
Elle s’efforce de prendre soin de sa communauté, d’appuyer les résurgences autochtones et de tramer des imaginaires féministes queers. En 2019, elle publie aux éditions Aura son premier recueil, la peur des rivières. Avec ses créations Après le vacarme (Mois de la poésie, 2019) et Huguette (Mois de la poésie, 2023), elle explore l’incarnation du poème sur scène.
Depuis deux ans, Camille assure la codirection artistique du Théâtre des petits paradigmes poreux aux côtés de sa grande complice, la metteure en scène Wina Forget, avec qui elle avait notamment collaboré comme interprète dans NOUS SOMMES (Tangente, 2022) et Sous l’eau douce (Théâtre du Bic, 2020). Elle écrit présentement un texte dramatique campé sur une barricade de défense de territoire.

Élise Ross-Nadié / Montréal

Élise Ross-Nadié est passionnée par les liens, les nœuds et les intersections entre les cultures numériques, le pouvoir et les rêves. Elle a aussi un intérêt marqué pour les logiciels libres, la décolonisation des connaissances et l’afrofuturisme. Elle a eu le privilège de promener ses histoires, et ses projets hybrides dans plus d’une quinzaine de pays. De ses aventures sont nées toutes sortes d’artéfacts : des articles Wikipédia, un guide d’identification des roses sauvages, de grandes amitiés, une extraordinaire tournée littéraire, un ouvrage collectif entre le Canada et Cuba, un recueil de textes féministes et de nombreuses sessions de danse. En 2023, elle reçoit la bourse Alliance de l’organisme Montréal Art Interculturels. Elle travaille notamment pour la revue Liberté, le Festival de la poésie de Montréal et participe à la Retraite d’écriture féministe pour la 3e fois.


Emma Desgens/ Mont-Saint-Pierre

Emma Desgens est artiste et œuvre en intervention sociale en milieu scolaire et auprès des personnes âgées. Ses créations, tant littéraires que visuelles, sont en écho au quotidien et à l’ordinaire, conjuguant les fractures qui forgent les êtres et la douceur qu’il faut pour les réparer. S’inspirant de l’intime, elle cherche à transcrire le dialogue entre ce qui nous habite et ce qui nous entoure. Elle travaille actuellement sur un recueil de poésie abordant le deuil, la filiation et l’écriture à travers son propre matrimoine culturel et familial. Elle est également instigatrice de la Retraite d’écriture féministe à Salon58 et co-dirige en 2023 le recueil issue de la retraite Je garde mes lunettes fumées près de moi.


Karla Etienne / Montréal

D’origine haïtienne, vivant à Tiohtià:ke, Montréal, Karla Etienne est artiste en danse et gestionnaire culturelle. Elle a œuvré auprès de Zab Maboungou et a collaboré notamment comme danseuse aux projets de George Stamos, Katya Montaignac, Sophie Corriveau, Kimberley de Jong et Priscilla Guy. Elle s’intéresse à la persistance du corps dans l’espace comme acte de résistance et de sublimation de soi. Elle signe un texte sur la danse émancipatrice de Bill Robinson dans Lo: Tech: Pop: Cult: Screendance Remixed à venir aux éditions Routledge en 2024 dirigé par Priscilla Guy et Alanna Thain. Elle poursuit sa contribution comme mentore et conseillère auprès d’artistes et d’organisations artistiques. Karla Etienne est directrice générale de l’Assemblée canadienne de la danse et artiste-commissaire invitée à Mandoline Hybride. Karla reçoit en 2021 le Prix Stellaire de Nyata Nyata pour le service à la grande communauté de la danse.


Priscilla Guy / Marsoui

Priscilla Guy est artiste, commissaire et chercheuse en arts basée à Marsoui, dans le Gespe’gewa’gi (Gaspésie). Ses œuvres scéniques et cinématographiques sont présentées aux échelles locale et internationale. Elle publie des textes dans des revues d’art (Moebius, Moveo, Dance Current, 24images, International Journal of Screendance) et participe à différentes publications académiques comme autrice ou directrice d’ouvrage (Oxford, Routledge, UDLAP). Détentrice d’un doctorat en études féministes et cinédanse de l’Université de Lille (France), elle dirige l’organisme culturel Mandoline Hybride depuis 2007 et initie plusieurs projets de diffusion et développement artistique (Regards Hybrides, Salon58, FURIES, L’Hybride — café & librairie). Elle siège présentement sur les conseils d’administration de Studio 303, d’Orange Noyée et de la Corporation de développement de la Haute-Gaspésie et des Chic-chocs. Finaliste au Prix Artiste dans la communauté par Les Arts et la ville (2023), elle a reçu le Prix Culture de LOJIQ (2012) et le Prix Étincelle des Prix de la danse de Montréal (2022).

La retraite se clôturera avec le désormais très prisé Cabaret féministe le samedi 4 mai de 19h00 à 22h00. Nouveauté cette année : le Cabaret se tiendra au Centre récréatif de Marsoui, dans la toute nouvelle salle Siméon Sohier, inaugurée à l’été 2023, afin d’accueillir encore plus de publics friands de poésie, de performance et de lectures stimulantes. 

Samedi 4 mai 2024, 19h à 22h
Salle Siméon Sohier, Centre récréatif de Marsoui
1, rue de L’Église, Marsoui

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Retraite d'écriture féministe © Marie-Josée Lemieux

Retraite d’écriture féministe 2e édition – Cabaret 9 avril 2022 – Photo Marie-Josée Lemieux

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3e édition – avril 2023
avec Catherine Beau-Ferron, Emma Desgens, Priscilla Guy, Karla Etienne & Élise-Ross Nadié
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2e édition – avril 2022
avec Catherine Beau-Ferron, Emma Desgens, Priscilla Guy, Karla Etienne & Élise-Ross Nadié
Voir les photos du Cabaret >

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1ere édition – avril 2021
avec Catherine Beau-Ferron, Emma Desgens et Priscilla Guy
Photos : René Faulkner